CHOCS dans le CERVEAU- criminalité de psychopathes



Pour des internautes qui tomberaient sur ce blog ou cet article par hasard, on peut rappeler que ce qu’on désigne par  WiFi  ambiant, ne provoque pas de chocs violents et douloureux  au cerveau. Ce WiFi-là est  celui qui s’impose à notre environnement et  permet des connexions à partir   des centres commerciaux, MacDo , bords de mer ou autres médiathèques . Tout le monde peut l’utiliser  facilement , et aussi  le détecter avec des appareils conçus pour cela . 
Ce WiFi est indolore pour des personnes non sensibles à ses propriétés et inconvénients évidents. 
Par contre, une personne EHS (Electro Hyper Sensible) et selon la gravité de son cas ,  ressentira  souvent le WiFi ambiant  par une première ou soudaine vague impression de malaise , une lourdeur anormale du cerveau qui semble s’embrumer, une envie de se gratter  une oreille, le cuir chevelu, le cou, un poignet……tous les endroits où les terminaisons nerveuses sont plus ou moins à fleur de peau.
Sans la voir, une personne EHS , sait aussi et par exemple ,  qu’une antenne relais se trouve à proximité d’elle , par toutes ou certaines de ces manifestations  connues et qu’elle éprouve avec plus ou moins d’intensité. Son cerveau abimé et son système nerveux détraqué sont ses pré-détecteurs.
C’est ce qui m’était arrivé récemment lors d’une promenade sur un chemin de forêt domaniale désert , et bordé de somptueuses maisons  que je croyais de privilégiés. 
Après cette première impression d’IC/EHS ( individu ciblé devenu électro hyper sensible), j’avais sorti mon détecteur qui m’avait confirmé ceci :


En cherchant très peu,   par un retour vers le bitume , on trouvait tout simplement cette antenne relais :

détail



En appartement, les IC/EHS peuvent également subir le WiFi ambiant de façon démultiplié quant aux sensations et à la gêne éprouvée. Les symptômes  les plus courants alignés plus haut,  peuvent y être ressentis avec des intensités différentes . Cela dépend pour beaucoup de l’inconscience ou de  l’indifférence des voisins,  comme ceux qui utilisent des répéteurs , des amplificateurs ou des CPL et qui font partager leur prétendu confort sous forme d’inconfort et pire à d’autres. Innocents.
Ainsi et parce que répéter n’est pas radoter quand la santé est concernée, il faut  absolument enregistrer dans une case du cerveau ,  que  le WiFi cuit sournoisement , épuise, provoque des maux de tête et engendre toute la kyrielle des symptômes expliqués et mis en lumière sur les sites de l’ARTAC, les blogs des EHS ( électro-hypersensibles) , et les sites des associations comme PRIARTEM, ROBIN des TOITS, NEXT-UP et autres.
Il en va différemment des agressions électromagnétiques vers le cerveau et qui sont  des manigances criminelles organisées en proximité d’une cible  et destinées
  • - à  la rendre folle après l’avoir rendue IC/ EHS, 
  • - à  la rendre gravement malade ou 
  • - à la pousser au suicide.
Ces agressions électromagnétiques  sont l’œuvre  de bandes organisées de sadiques et de psychopathes qui utilisent la technologie pour propulser  de  l’énergie immatérielle, comme celle du WiFi ou de radars et même celle des réseaux électriques  , vers une cible . 
Cette énergie propulsée de façon directionnelle cette fois ,  traverse   murs ,  parois et carrosserie de voiture, avec violence,  pour atteindre une personne qui ne connaît pas ses agresseurs cachés ,  amateurs accros  ou criminels spécialisés .
Comme me l’avait indiqué le gentleman déménageur (article précédent)  ami des gars du CHICHI , le réseau des psychopathes  criminels français,  spécialisé depuis longtemps et en cachette  dans la traque des femmes à cuire, avait  commencé ses séances de torture, sitôt ma nouvelle installation non terminée. 
Les voyeurs criminels à l’œuvre ici aussi, connaissent l’heure de mes retours chez moi et l’exact endroit où je m’y trouve, ce qui leur permet d’ ajuster leurs tirs et  de satisfaire leurs pulsions sadiques  par des pulsations criminelles,  qu’ils confondent avec des exploits de guerriers.
Ceci ci-après,  et  de nouveau,  (la vidéo )  montre les chocs au cerveau produits par des tirs  d’énergie dirigée et  venant du dessus.


Privée de sommeil par des souffrances épouvantables, l’envie de dormir n’importe où est permanente. L’angoisse de s’endormir, aussi, comme le montre les électrodes FP1 et  FP2 placées sur le lobe frontal et qui continuent de  s’affoler ou de fonctionner sur plus de 30Hz,  quand tout le reste du cerveau est  quasiment effondré





et


Par comparaison/opposition , on peut revoir l’EEG et la détection  de CEM  qui avaient été faits dans le monastère de la COUDRE * (1), où j'étais allée à l'improviste . Cet EEG de cuisson intense,   ne montrait  aucune réaction brutale du cerveau ,  abruti de  CEM ambiants .
La cuisson au WiFi, extrêmement  dangereuse, est  cependant différente des tirs dans le cerveau qui l’embrasent  et le font souffrir tout en privant, en continu  ( chaque nuit , de préférence) , la cible de sommeil et de repos.
La variété des appareils de torture utilisée permet la déstabilisation des cibles, qui appariassent confuses dans leurs descriptions  forcément changeantes et apparemment approximatives .C'est intentionnel, très certainement.
Par ailleurs,  certaines formes d’énergie pulsée  de façon fulgurante , sont difficilement détectables  par mes appareils de détection qui n'enregistrent que chaque 10 secondes . Il se pourrait aussi que certaines formes de l'énergie utilisée ne soient  pas détectables par les appareils en ma possession. 
L’EEG , comble  partiellement cette lacune.

* (1) http://lezarceleurs.blogspot.fr/2016/10/eeg-cuisson-du-cerveau-sans-souffrance.html

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